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( retranscription de la vidéo ) 

– Célia Petrissans
Bonjour Loïc, déjà merci d’être d’être présent pour cette interview et bienvenue chez PMC expertise comptable. On partage du contenu à destination des créateurs d’entreprise, mais également pour tous les gens qui souhaitent développer leur entreprise. Aujourd’hui, on va parler d’une activité, d’une thématique qui est vraiment un sujet d’activité. On va dire quelque chose qui est vraiment très important si on souhaite faire connaître son entreprise et la développer dans le temps. Ce sera comment développer son entreprise avec la stratégie vidéo déjà dans un premier temps

Je vais te laisser te présenter comme ça. Tu vas pouvoir nous dire ce que tu fais aujourd’hui. Et puis comment tu peux, après accompagner les entreprises dans ce domaine et quels conseils tu pourrais donner.

– Loïc Passicos
Bonjour à tous, je m’appelle Loïc, moi j’aide les entreprises en croissance aujourd’hui, principalement sur Bordeaux, à se développer et à gagner en visibilité grâce à l’outil vidéo.

Ma particularité par rapport à d’autres concurrents, c’est qu’en fait, moi, je m’occupe de la stratégie vidéo globale, c’est à dire qu’il y a la stratégie. Il y a le tournage, le montage et la diffusion, et c’est vraiment l’ensemble qui permet à l’entreprise d’avoir une offre clé en main pour ne pas seulement avoir des vidéos. Et après l’entreprise se débrouille, mais qu’elle puisse avoir une stratégie vraiment globale qui s’intègre à ses outils de communication qu’elle a déjà et ce qui lui permet d’assurer des résultats.
Et moi, je travaille vraiment dans cette optique là, d’accompagner vers des objectifs.

– Célia Petrissans
Tu n’accompagnes pas simplement sur la technique, mais surtout après l’aspect, comment on fait connaître sa vidéo où on la diffuse et quelle stratégie on va adopter. C’est ça ?

– Loïc Passicos
Exactement. Ce n’est pas seulement la production de la vidéo, c’est à dire que si, pour donner des exemples concrets. Si demain on est amené à travailler ensemble, que vous souhaitez faire différentes capsules vidéos, les capsules vidéo c’est des petites capsules avec des formats courts.

Je vais vous accompagner également sur le choix des thématiques des vidéos parce que le choix de la thématique c’est super important. Et si demain je vous dis je vais vous faire 12 vidéos, que je vous laisse choisir les thématiques on prend en quelque sorte, le risque de ne pas avoir des vidéos pertinentes pour votre public. Donc, c’est important pour moi de voir cette partie là, donc c’est vraiment toute l’enveloppe globale. Et ce n’est pas juste la production de vidéos, c’est tout ce qu’il peut y avoir autour de la vidéo.

– Célia Petrissans
Et donc quels conseils tu pourrais donner à quelqu’un qui souhaite se lancer dans la vidéo, justement, mais qui sait pas forcément quelles thématiques abordées pour commencer? Quel va être son angle d’attaque? Quels conseils tu pourrais donner à quelqu’un qui voudrait se lancer?

– Loïc Passicos
Il y a pleins de conseils. Le premier que je peux donner, c’est que déjà, à toutes les typologies de métiers peuvent faire de la vidéo. Aujourd’hui, on a l’exemple parfait ici avec toi, Célia, dans ton domaine d’activité, tu fais des vidéos. Donc c’est que, que vous soyez un courtier, un agent immobilier ou même ramoneur, vous pouvez faire des vidéos. Une astuce pour trouver des thématiques. C’est déjà aujourd’hui, si vous ratez cette vidéo et que vous avez un site Internet.

Le site Internet, vous l’avez rempli avec des images, des textes, des contenus, d’anciens sites Internet. Vous parlez de vos offres, de vos équipes, etc. Déjà, ça peut être des thématiques de vidéos. Mais globalement, si je devais donner une bonne astuce, c’est que les meilleures vidéos vous vous amuserez à regarder quand vous cherchez le vidéo sur Google. C’est des vidéos qui répondent concrètement à la problématique.

Même si vous cherchez sur Google comment faire un gâteau au chocolat? Ça peut paraître simpliste, mais c’est quelque chose que les gens cherchent. Et moi, je vois vraiment les vidéos comme des articles de blog, comme la partie SEO référencement naturel. Donc, pour trouver des idées de vidéos, écoutez vos prospects et écoutez vos clients. Écoutez les questions qui vous pose déjà là, il y a une bonne base. Donc après, ça peut dépendre de vos stratégies. Les thématiques des vidéos peuvent aussi dépendre de la stratégie que vous voulez adopter en fonction des capsules.

– Célia Petrissans
OK, mais ça me semble intéressant. L’aspect, comment faire, etc. Parce que je pense de plus en plus, on se rend compte qu’on a tendance pour n’importe quoi à vrai dire, pas seulement dans l’activité professionnelle. Allez sur Google, quand on cherche quelque chose, on a tendance à indiquer « comment faire » et surtout quand on a un métier où il y a des tutoriels qui sont intéressants pour l’activité. Donc, ça me paraît vraiment intéressant pour trouver des sujets et des sujets qui intéressent aussi.

– Loïc Passicos
C’est ça. Et souvent, on se rend compte que quand vous êtes dans votre domaine d’activité, je vois pour beaucoup de clients. C’est quand vous vous rendez compte des thématiques de base et des premières questions. Comme vous êtes un stade d’expert, quelque soit votre domaine, Défense rend plus compte que les gens peuvent avoir des questions comme ça parce qu’on est tellement dedans. On se dit dans ce genre de questions. C’est tellement facile qu’on ne répond pas.

Et souvent, c’est les questions les plus simples qui peuvent être intéressantes en vidéo. Ce n’est pas la recette magique pour faire une vidéo. Il y a beaucoup d’autres composantes qui font ça parce que vous avez une thématique super intéressante, que tout le reste va. Mais du moins, c’est un élément qui est très, très important pour avoir une vidéo qui marche bien et qui répond à vos objectifs.

Donc le choix de la thématique est primordial. Il vaut mieux avoir une super thématique et filmer avec un smartphone que l’inverse. Avoir une super caméra et choisir des thématiques, comme pour montrer un peu l’importance de la thématique.

– Célia Petrissans
Quels conseils aujourd’hui, tu pourrais donner à quelqu’un qui se dit Voilà, je commence à m’intéresser à l’aspect vidéo. Aujourd’hui, on se rend bien compte sur les réseaux sociaux. La vidéo, c’est quelque chose qui va se démarquer, qui va permettre de se démarquer de ses concurrents. Quels conseils tu pourrais donner à quelqu’un qui a envie de passer derrière la caméra? Devant la caméra? En tout cas, qui souhaite se lancer, mais qui, pour l’instant, n’ose pas peut être et se dit qu’effectivement, c’est quelque chose de très compliqué la vidéo à mettre en œuvre. Le matériel, c’est compliqué tout ça voilà.

Quels conseils tu pourrais donner à quelqu’un qui vraiment débute et qui se pose cette question ?

– Loïc Passicos
Alors ça, on entend souvent ça. La vidéo, c’est cher, c’est technique, ça prend du temps… Il y a du vrai dans cette phrase, mais globalement, on est en 2020, c’est impossible de dire je ne peux pas faire de vidéo parce que je n’ai pas les moyens, parce que je n’ai pas de caméra, etc. Etc.

Aujourd’hui, faire de la vidéo, juste faire de la vidéo, c’est facile. Tout le monde peut faire de la vidéo. Après, ça dépend ce qu’on fait avec une partie stratégique. Mais le fait de faire une première vidéo, de tester ça, c’est abordable pour tout le monde. Dans les conseils que je vous donnerai, il y a des conseils liés à la stratégie et au matériel, etc. Mais si je devais un peu donner des choses, c’est de faire simple dès le début.

Partez pas dans une stratégie de dire OK, alors je vais faire trois vidéos par semaine. Je vais faire si je vais faire ça. Commencez vraiment à voud dire, voilà allez déjà vous faites une seule vidéo par semaine. Déjà, c’est déjà hyper important d’être régulier, quelque soit la plateforme ! Il y a des plateformes, c’est encore plus important, par exemple sur YouTube. Il y a des paramètres qui sont importants mais si vous êtes par exemple sur LinkedIn sur Instagram lorsque vous n’êtes pas régulier, ça ne va pas marcher. Donc, faire simple va vous aider à être régulier.

Après, en termes de conseils, ça peut dépendre. Mais globalement, vous avez déjà votre caméra dans la poche bataillez pas à chercher sur des sites quelle caméra il faut choisir. Quel eclairage, quel trépied, etc. Sur la partie matérielle, si à la limite, vous poser des questions sur « comment me lancer », on part du principe que vous avez déjà la caméra qui est votre smartphone. Le seul truc que je dirais d’acheter, c’est à la limite un trépied pour smartphone.

Pour la partie lumière, vous pouvez faire la lumière naturelle, la lumière du soleil, si elle est bien gérée, que vous êtes bien placé, qu’il n’y a pas de contre jour, etc. Ça peut suffire pour démarrer. Si vous faites les choses vous même, la quatrième chose, c’est le micro cravate, le micro cravate comme on a ici. Donc voilà, à partir de 30 euros pour avoir un micro cravate.

Si vous êtes intéressé, on vous mettra des références dans la description. Vous n’êtes pas obligé de démarrer avec un micro cravate, ça dépend ce que vous faites. Là on est en position interview donc c’est vrai que c’est pas mal d’avoir un micro cravate.

Si vous êtes en face cam et que vous êtes tout seul. Donc vous êtes face à la caméra à moins de deux mètres de la caméra. Disons 1m50 / 2m, vous pouvez faire avec le micro de votre téléphone. Moi, j’ai déjà testé avec un micro comme ça à Trente euros et le micro de l’iPhone on a des belles surprises. Quand vous êtes dans une pièce silencieuse, évidemment il faut quand même de bonnes conditions, ça peut suffire.

Donc, à la limite, un conseil pour vous lancer, vous galérez pas trop sur la partie matérielle. Vous avez juste besoin d’un smartphone.

Ça, c’était un peu pour la partie matérielle dont on a échangé tout à l’heure. Après, sur les points importants, c’est également un point qui est très, très important. C’est de faire simple.

Quand vous allez démarrer en vidéo, ne commencez pas avec des choses compliquées, des vidéos longues, un montage complexe, dites vous : « oK, on va partir sur des vidéos au maximum 2 minutes ». Vraiment, vous pouvez faire moins de 2 minutes. Pourquoi ? Cela suffit pour être percutant. Moi, c’est un format que j’adore. Que ce soit pour moi, perso ou pour mes clients, c’est un format que je recommande. Pourquoi ? Parce que principalement, je fais des vidéos dédiées aux réseaux sociaux et deux minutes après, il y a des débats, un peu il y en a c’est moins c’est plus.

Pour une pub Facebook, c’est beaucoup moins, même si on peut mettre une vidéo comme ça. Mais ce n’est pas le débat. Bref, deux minutes, c’est un bon format pour démarrer. Ça vous évite également un montage complexe. Moi, ce que je vous invite à faire pour vos premières vidéos, si vous êtes tout seul, c’est de ne pas faire de montage ou de limiter le montage.

Il y a des petites applications gratuites pour faire du montage. Si vous êtes sur un iPhone, on peut faire avec iMovie, il y a des petites choses, etc. Mais simplifier au maximum ces premières vidéos. Et si vous pouvez appuyer sur, enregistrer toute la vidéo et vous coupez juste le début et juste la fin. Après, c’est une première vidéo. Vous pouvez toujours la ranger, mais essayez vraiment de faire simple une vidéo. C’est un sujet. Commencez pas à parler de votre produit et vous offre vos équipes, etc.

Dans la première vidéo, énoncez peut être un seul message, donc voilà un petit peu par rapport au côté matériel, par rapport au côté simplicité pour se lancer.

– Célia Petrissans
Oui, on peut tout à fait faire une vidéo sans montage si on n’a pas envie du tout de faire le montage. De toute façon pour le montage, soit on délègue. Et dans ce cas là, on prend quelqu’un qui est spécialisé dans le montage, soit si on veut faire une vidéo on peut le faire sans montage en fait. soit on fait un vidéo simple de 2-3 minutes sans couper et c’est tout à fait possible.

– Loïc Passicos
Exactement parce que l’objectif de la première des premières vidéos et surtout de la première vidéo. En fait, l’objectif, c’est de la publier. L’objectif, c’est qu’elle soit en ligne et que vous ayez fait ce geste de mettre publier. Et c’est un geste qui est un peu. Super important d’avoir votre visage est en ligne via une vidéo et déjà c’est un cap, et après vous verrez si vous voulez acheter un peu de matos, etc.

L’objectif de la première vidéo c’est pas de faire une vidéo parfaite, mais que vous la publiez. Donc déjà avec ça, vous allez vous voir en vidéo, vous allez vous dire dans la prochaine je pourrais ajouter peut être des sous titres. Peut être qu’on va mettre un format carré au format seize neuvièmes parce que c’est pour les réseaux sociaux, etc. Etc. Donc, la première, vous prenez pas la tête à rien, juste à la publique.

– Célia Petrissans
Oui, l’idée, c’est de prendre confiance.

– Loïc Passicos
Voilà on pose la première pierre et comme ça, c’est fait. Et après, vous vous dites OK, la vidéo, je vais faire ça plus sérieusement a titre personnel donc je me forme sur le sujet. Soit je passe par un vidéaste pour faire ça, soit je délègue certaines parties, mais c’est pas se prendre la tête dès le départ, à moins que vous ayez une vision de la vidéo que vous voulez intégrer à votre stratégie commerciale d’emblée. Là Oui, c’est possible.

– Célia Petrissans
Et pour être plus à l’aise parce que même chose, il y a deux possibilités. Soit par exemple pour tes clients, toi, tu t’occupes de filmer, de mettre à l’aise la personne. Ça moi j’ai déjà pu tester. Donc c’est bien, on a rien à penser. On a préparé juste son texte et ses titres. En fait, ça c’est très bien. Mais si quelqu’un qui veut commencer seul avec son smartphone, faire très simple, quels conseils tu peux donner justement pour être un peu plus à l’aise et être un peu plus détendu? Ou est ce qu’on regarde précisément?

– Loïc Passicos
Alors pour l’aspect, d’être plus détendu devant la caméra, on en a parlé tout à l’heure le fait de faire simple. C’est super important. Vous n’allez pas avoir le tracas du matériel à installer. Vous n’allez pas vous dire on part sur une vidéo longue, on reste sur un format court. Déjà toute cette partie là. Faites simple après ce que vous pouvez faire déjà en termes de thématique, parler de choses pour lesquelles vous êtes complètement légitime et complètement à l’aise.

De même, vous êtes pas un expert de la vidéo, mais vous êtes déjà un expert de votre thématique. Donc, si vous parlez de comment vous travaillez, de votre processus, de vos clients, de votre dernier chantier, etc. Etc. Ça va venir tout seul. Vous n’avez pas besoin de forcer. Pas besoin d’inventer des choses. Déjà, parler de choses qui vous concerne. Vous parlez de choses qui concernent votre métier. Sur cette partie là, après, sur la partie, vous avez déjà probablement un site Internet.

Vous pouvez aussi vous baser sur votre site internet parce que des fois, les gens le disent. Moi, je ne sais pas quoi dire en vidéo, je ne sais pas quoi dire sur la première vidéo. Et pourtant, dans votre site, vous avez des textes, des images, des contenus qui parlent de votre activité. Et ces contenus ont été réfléchis, ont été travaillés peut être par vous, par vos équipes ou par une agence. Vous pouvez vous appuyer sur ces contenus tout simplement pour trouver des thématiques, donc en fonction de ce que vous faites.

Mais des fois, on ne se rend pas compte. On est dans notre métier, on est un peu dans notre bulle et on ne se rend pas compte que nos prospects ils ont des questions de base qu’on ne se pose plus. Parce que ça fait des années qu’on est dans le métier. Donc, ça peut être aussi des bons moyens de commencer pour des choix thématiques dans la vidéo.

– Célia Petrissans
Oui, déjà, en reprenant déjà peut être simplement les questions de ses propres clients. Et ce sera peut être justement les thématiques les plus intéressantes parce qu’on parle de points qui sont qui nous paraissent simples. En fait, quand on est dans son domaine d’expertise, mais en tout cas, c’est des questions que les clients ou les prospects se posent.

– Loïc Passicos
Ca c’est vraiment les deux meilleures vidéos. Après, ça peut vraiment se débattre. Mais des vidéos qui fonctionnent vraiment bien, c’est les vidéos qui répondent à des problématiques que les prospects se posent. La deuxième chose, c’est les témoignages clients. Ces choses qui marchent bien. Parce que qui mieux que vos clients pour vendre vos produits? Du coup, c’est des formats qui marchent bien. Donc, si vous voulez aussi, si vous avez des clients avec qui vous avez tissé des liens, vous pouvez vous prêter au jeu.

Ça peut être intéressant. Il y a plein de choses à faire en vidéo et après, ça dépend aussi de la stratégie qui est aussi super importante en vidéo.

– Célia Petrissans
D’accord, ok. Et pour rebondir sur ça, justement, la stratégie. Faire une vidéo. Déjà, c’est bien. C’est la première étape. Commencer vraiment le passage à l’action de tourner sa première vidéo. Ça, c’est vraiment une bonne chose. Mais par la suite, c’est qu’il faut avoir quand même une stratégie.

Si on veut justement que les vidéos ait un impact sur des clients, des prospects, etc. Il faut avoir une stratégie de communication derrière. Qu’est-ce tu peux nous nous dire, quels conseils justement même chose tu peux conseiller ? Quels conseils tu peux apporter à quelqu’un qui veut commencer à publier des vidéos, et qui sait pas forcément sur quelle plateforme les diffuser ? Quel est l’horaire, etc.

– Loïc Passicos
Moi, je dis toujours pour les vidéos, 50% de la réussite d’une vidéo passe par la diffusion. Aujourd’hui, il vaut mieux filmer avec un smartphone à 200 euros et avoir une belle stratégie qui réfléchit, plutôt qu’avoir une super caméra à plusieurs milliers d’euros et derrière, pas de stratégie.

Dans votre cas, vous avez déjà le matériel nécessaire ou du moins, vous pouvez investir dans un trépied comme on a échangé tout à l’heure pour faire cette partie là. Et sur la partie, donc la stratégie de diffusion quand on dit stratégie, ça peut faire penser à des choses hyper complexes, qu’il y a des équipes qui travaillent, etc.

Pour vous donner une base en termes de stratégie : une stratégie de diffusion, c’est que vous dites « OK, je vais choisir un canal de diffusion », donc Instagram, Facebook, Snapchat, Tik Tok, une newsletter, un site, etc. Vous choisissez un ou plusieurs canaux en fonction de vos stratégies.

La deuxième chose, c’est choisir une fréquence pour vous donner un exemple concret. Par exemple, on va dire je choisis comme Canal LinkedIn, je choisis de publier une fois par semaine. Donc ça, c’est ma fréquence, la fréquence. Vous pouvez mettre en fonction de votre stratégie en fonction du canal. Mais la troisième chose, c’est l’heure de diffusion. Donc l’heure de diffusion va varier évidemment en fonction de votre audience, en fonction de votre activité, en fonction de pas mal de choses.

Mais déjà, avec ça, Canal / fréquence et heures. Vous avez déjà une base de stratégie de diffusion. Alors ce n’est pas toute la stratégie, mais déjà, respectez ça avec une stratégie simple et un état régulier. Déjà, vous avez déjà une très belle longueur d’avance par rapport à des gens qui vont juste dire tiens, c’est lundi, il fait beau, je fais une vidéo, vous vous dites OK, moi, je pars sur trois mois sur LinkedIn, une vidéo par semaine à telle heure.

Vous avez déjà un cadre et ce cadre là ne peut pas vous garantir des résultats. Mais du moins, c’est sûr qu’en faisant comme ça, vous avez plus de chances d’avoir des résultats que de partir sur une stratégie un peu aléatoire. C’est hyper important d’avoir cette partie stratégie incorporée à la vidéo. L’un va penser à l’autre. C’est super important, même si c’est des choses basiques, avoir de la régularité, etc.

– Célia Petrissans
Mais même justement, pour se motiver à tourner des vidéos, c’est à dire que si on sait que chaque semaine à telle heure, on doit publier une vidéo, ça va nous permettre justement d’anticiper, de programmer les choses à l’avance, de bloquer peut être une demi journée pour tourner des vidéos et ensuite, justement, pour pouvoir les programmer dans le temps. Donc, en fait, on gagne du temps déjà en tournant peut être plusieurs vidéos en même temps et ça permet vraiment de faciliter et faciliter les ambitions des vidéos.

– Loïc Passicos
Mais comme tu dis avec cette petite routine, je sais que si chaque jeudi à midi, je dois publier ma vidéo, c’est important de se dire le jeudi matin Allez, je sors mon trépied. Peut être que ce jeudi matin là, vous avez des rendez-vous. Vous n’êtes pas plein d’énergie, il ne fait pas beau, vous n’êtes pas dans une bonne dynamique.

Alors que le sachant tous les lundis, vous posez votre un lundi par mois, vous vous dites tous les lundis, je fais quatre scripts, quatre tournages, quatre montages. Donc chaque jeudi, même si vous n’êtes pas une énergie maximale pour tourner des vidéos et que vous n’avez pas le temps, vous avez votre vidéo qui est prête serment. Une super clé. Ça marche dans d’autres trucs, mais sur la vidéo, c’est vraiment de produire en masse. Vous vous dites OK, je vais faire une vidéo par semaine en termes d’énergie et de temps. Combien vous pouvez en publier au maximum en une seule fois.

L’idée c’est pas d’en faire 50 parce qu’une vidéo, vous allez le voir. Quand vous faites une vidéo, vous vous rendez pas compte sur le moment, mais quand vous arrêtez, ça demande beaucoup d’énergie. Et après votre journée peut en dépendre. Donc, si vous dites moi, je peux faire quatre vidéos d’un coup, vous les faites bien et vous savez que vous avez tous vos vidéos, par exemple du mois de novembre décembre janvier.

Il permet de le faire en solo, sachant que l’on n’a pas tout le temps la bonne énergie entre guillemets. Des fois, il y a des journées ou on est un peu moins bien des fois, il y a des journées où on est fatigué. Et justement, en sachant que sur une seule journée, on va tout faire. La veille, on est bien reposé, on fait un peu de sport, on se met en bonne hygiène de vie pour faire notre vidéo, donc c’est hyper important de faire comme ça.

– Célia Petrissans
Bien sûr, d’avoir une stratégie derrière, de diffuser comme tu l’as dit : un horaire, un jour qui est défini et après même pour pouvoir analyser les résultats derrière car là tu interviens également en tant que conseil auprès de tes clients. Permet de faire le point sur les résultats si pendant trois mois, vous avez défini un rythme de publication au bout trois mois. Vous allez déjà pouvoir analyser les résultats et même avant.

– Loïc Passicos
Parce qu’en fait, ce que je fais, c’est que globalement, ça dépend de l’audience du client. C’est à dire que si le client a déjà une grosse audience, on publie les premiers contenus. Ça marche tout de suite. Il y en a certains. Il faut pousser un peu d’entrée, mais le fait de publier une vidéo par semaine, alors, on n’attend pas forcément trois mois. Mais déjà, à partir de la deuxième ou troisième vidéo, on a déjà des indicateurs de performance qu’en amont, on va définir. Par exemple, si le client me dit moi, je veux te commander une vidéo par semaine et je veux que ça me rapporte au moins un client par mois.

Mais on va voir, c’est pas magique. C’est à dire que si on publie des vidéos, mais qu’il n’y a pas de stratégie derrière que personne n’envoie de messages personnalisés sur LinkedIn ou par mail, etc. Ça n’a pas fonctionné. On va se dire OK sur cette première vidéo, on l’a publiée on a eu tant de likes, de partages, de commentaires. On a envoyé tant de messages personnalisés, on a eu tant de résultats sur la deuxième, la troisième, etc.

En fait, ça permet d’optimiser de voir les thématiques qui marchent le mieux. De voir des thématiques, peut être ou en fait, il y aura bien une deuxième vidéo pour affiner le sujet. Ou alors il y a eu beaucoup de questions. Cette vidéo a tellement bien marché que pour en faire un article, on peut refaire un autre contenu. Donc, ça permet vraiment de faire ça. Et moi et mes clients. Souvent, ils n’ont pas forcément le temps, mais pas forcément les compétences en interne de le faire.

Et c’est quelque chose où je les accompagne. Il y a vraiment un suivi ou pas. Un client ne peut pas me reprocher de pas avoir fait ce suivi parce que moi, je joue derrière. Faire une vidéo, c’est bien, mais on ne fait pas des vidéos pour faire plaisir. On est des entreprises, on cherche la rentabilité et du coup, je veux tout faire pour assurer la rentabilité. Et même une fois que j’ai fait le tournage, et tout. Pendant la diffusion, c’est de dire aux clients. Voilà la recette pour que ça marche. Je veux que tu utilises tous les ingrédients si tu n’utilises pas tous les ingrédients bah il se peut que ça ne marche pas.

Et du coup, je j’essaie de lui demander d’utiliser tous les ingrédients, des ingrédients simples. Mais je sais que si le fait par rapport au prix de la prestation et au prix de ces prestations à lui sur 3 mois, je sais que la rentabilité est peut être largement atteignable.

Donc, sur cette partie accompagnement, c’est quelque chose qui est super important et des fois on ne se rend pas compte quand on publie des vidéos et du contenu. On a pas forcément d’objectifs. On a pas le temps de prendre du recul et quand on voit, je ne sais pas qu’il y a une vidéo qui a fait 10 like et une qui a fait 30 like, c’est pas énorme, mais forcément. C’est à dire que entre 10 et 30, peut être qu’il y en a sur celle là. Il y a tant de personnes qui t’ont contacté, etc.

Si t’as pas tous les indicateurs de performance en face, tu ne peux pas te dire « bon, ok, je ne sais pas trop si ça marchera ».

Donc là, c’est clair, les chiffres ne peuvent pas mentir. Tu connais l’histoire, on a tout sous les yeux et c’est super important d’avoir des indicateurs de performance, même si on n’en a pas beaucoup moins de se dire des basiques.

– Célia Petrissans
Oui, et d’avoir une vision stratégique. C’est ce que tu apporte, la valeur ajoutée, parce que faire des vidéos, c’est une bonne chose. Les publier, c’est une bonne chose, effectivement.
Mais dans quel objectif on fait des vidéos ? Est ce que c’est simplement pour faire connaître la marque de l’entreprise? Est ce que c’est pour faire de la prospection ou gagner en visibilité? Quels sont les objectifs derrière et est ce que les vidéos atteignent leur cible?

Toi tu interviens vraiment sur tout ça.

– Loïc Passicos
Avant pendant et après. C’est à dire que quand on va dire tiens, je fais des vidéos. L’entreprise, je vais lui dire bon bah en termes de fréquence, il faudrait faire plutôt ça. Avant même de tourner, en fait, sur les thématiques et à chaque fois que je propose des thématiques, souvent, j’ai l’œil complètement extérieur à des métiers que je connais. Mais je ne suis pas dans le métier. Je suis pas un expert, donc moi, j’ai des questions de personnes qui s’intéressent par ma curiosité.

Et souvent, c’est ces vidéos là qui marchent le mieux parce que l’expert, il se rend plus compte de ces petites petites questions. Et je l’aide vraiment sur ça à prendre du recul sur son activité.

Ce qui est aussi important, c’est que des fois, il y a des métiers très techniques et les vidéos peuvent vraiment servir à vulgariser un peu le métier, à montrer un peu comment ça marche. L’objectif de la vidéo n’est pas de tout expliquer, c’est de donner une mise en bouche et si la personne en veut plus et vous contacte. Donc cette partie stratégique, elle est hyper importante. Elle m’intéresse vraiment parce que c’est là où on va vraiment aller chercher, on jauge tout pour que ce soit de la rentabilité, quoi.

– Célia Petrissans
Cet accompagnement moi, ça me paraît essentiel. Mais par exemple, quelqu’un aujourd’hui qui a envie de faire des vidéos et qui a juste des questions techniques. Comment faire? Et qui aimerait vraiment gérer ses vidéos en interne? Comment est ce que tu peux l’accompagner? Tu propose des formations. Qu’est ce que tu proposes?

– Loïc Passicos
Alors moi, j’ai deux typologies d’offres. La première, c’est la plus complète, c’est à dire que c’est pour une entreprise qui est principalement en croissance, qui est bien installée et qui veut tout déléguer. En gros, moi je fais 80% et elle fait 20%, donc je fais cette fameuse stratégie en amont, le tournage, le montage et je l’accompagne vraiment sur la diffusion. Ça, c’est l’offre la plus complète pour une entreprise. Pour un exemple qui veut par exemple commander 12 petites vidéos pour les réseaux sociaux, je l’accompagne du choix des thématiques à lui dire.

Tiens, il faudrait que tu publies à elle heure sur LinkedIN et cette vignette, il faut qu’elle soit comme ça, etc. Vraiment, un conseil personnalisé, c’est la première offre.

La deuxième offre, c’est une offre d’accompagnement via la formation. Là, c’est pour des entreprises qui ne veulent pas tout déléguer et qui veulent être assez autonomes et faire les choses en interne. Donc, je veux leur dire voilà. Mais par rapport à la typologie de votre activité, est ce qu’ils ont un ou deux commerciaux en interne, une personne qui peut gérer ça Ou alors c’est le CEO, le fondateur qui gère ça. Je l’aide sur le choix du matériel, je l’aide sur du coup sa stratégie de diffusion.

Là, on travaille plutôt sur une stratégie très long terme puisque lui va pouvoir produire ses vidéos et avoir quelque chose de long terme. Et ce qui est important là dedans, c’est qu’en fait, si demain je travaille par exemple avec un agent immobilier qui veut faire des visites de chantier avant, après ou avec quelqu’un qui fait du ramonage, je vais avoir vraiment une approche personnalisée.

C’est à dire que la formation, il y a un socle de base. Parce que les choses qui ne changent pas. Et après, dans les outils que je veux proposer: le trépied, la lumière, etc, ou la stratégie de diffusion. Là, ce sera vraiment personnalisé.

– Célia Petrissans
Oui, tu vas t’adapter, par exemple, au budget de chaque client. Si on veut soit avoir du matériel haut de gamme, d’être au top.

– Loïc Passicos
C’est ça le prix de la formation globalement, il est le même pour tous. Mais par exemple, si quelqu’un me dit moi, je veux tout mon matériel à moins de 100 euros, je peux le faire. hors smartphone, évidemment, puisque je pars du principe que la personne a déjà ou alors une personne qui me dit moi, je veux vraiment du bon matériel. Je voulais proposer autre chose. Après, j’ai une personne qui veut me dire Moi, je ne veux pas faire de montage, donc je veux que dans la formation on ne parle pas de ça et que ce soit délégué ou que ce soit fait autrement.

Après j’ai une personne qui va être sur Mac, j’ai personne sur PC… Donc vraiment, c’est du personnalisé par rapport à ça. Pour que la personne puisse avoir une formation qui lui correspond et qu’elle puisse l’appliquer sur le long terme et être indépendante avec la typologie des vidéos dont elle a besoin pour ambitionner sur un format interview. Si la personne de faire des interviews sur le long terme, il faut qu’elle ait tout pour, ça se passe bien. Donc, c’est vraiment ça c’est la deuxième prestation.

– Célia Petrissans
OK, merci.De toute façon, si vous avez des questions, on va mettre les coordonnées de Loïc. D’ailleurs, même n’hésitez pas si vous avez des questions posées, poster des commentaires de la vidéo. Donc on pourra répondre avec plaisir, répondre à vos questions et n’hésitez pas en plus à le contacter directement. Parce que parfois, on a des questions, on se dit c’est un peu bête j’ai une question mais ça va peut être coûter cher, des fois on a des a priori.

J’incite, tous ceux qui sont intéressés, en tout cas à te contacter parce que tu adaptes à la fois ta formation et tes prestations de service. Donc, tout le monde va pouvoir trouver quelque chose qui peut lui convenir. C’est ça, exactement.

De toute façon, pour conclure le sujet de la vidéo est aujourd’hui essentiel si on veut se démarquer. Et c’est un sujet d’actualité. Et aujourd’hui, je pense que les entreprises qui vont vers ce mode de communication vont pouvoir vraiment se démarquer de leurs concurrents et développer leur visibilité vraiment à long terme.

– Loïc Passicos
Certes, la vidéo aujourd’hui en 2020 peut encore se démarquer avec ça. Alors, après il y a beaucoup de formats. Souvent, on pense à des formats de vidéos classiques un peu institutionnel, mais en fonction de votre créativité, en fonction de votre budget, en fonction de votre domaine. Il y a plein de choses à faire des vidéos courtes, des vidéos longues, des vidéos ou plusieurs fois. Donc c’est vraiment le sujet, en fait. La vidéo, qui est très, très large et ça peut s’adapter en termes de typologie, en termes de budget, en termes de matériel.

Moi, ce que j’aime vraiment dans les projets, c’est que chaque projet c’est pas du tout la même chose. Le fil rouge de la vidéo est derrière le client et il ne veut pas toujours la même chose. Et c’est là où c’est intéressant. Donc, si vous avez déjà des questions, des choses comme ça sur la vidéo, que ce soit du matériel, du tournage, etc. Posez vos questions, c’est toujours intéressant et vous vous rendez pas compte à quel point c’est accessible la vidéo. Si vous avez des blocages aujourd’hui, ce serait un plaisir d’y répondre. Parce que si vraiment vous êtes à deux doigts d’être déjà vidéaste, si vous avez un smartphone du trépied, c’est vraiment quelque chose qui est accessible avec une bonne stratégie à côté.

– Célia Petrissans
C’était un peu l’idée de cette interview de montrer que la vidéo était accessible à tous et qu’il fallait simplement déjà le vouloir et après, s’y intéresser et les contacter après des partenaires qui sont spécialisés dans le domaine. Si vous avez besoin d’un accompagnement. Merci beaucoup, Loïc pour ces précieux conseils. Merci.

De toute façon, si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poster. N’hésitez pas à liker, à partager la vidéo. On se retrouve très bientôt pour une nouvelle vidéo sur la chaîne PMC Expertise comptable.

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