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(Transcription texte de la vidéo)

Interview « l’accompagnement des femmes chefs d’entreprise avec Sophie Lion, Osez demander ! »

– Célia Petrissans
Bonjour Sophie et bienvenue chez PMC expertise comptable.

Aujourd’hui, on reçoit Sophie Lion. Merci d’avoir accepter cette interview. Sophie à un parcours qui est super inspirant. Ça me semblait vraiment intéressant que tu nous partages un peu ta vision du coaching, du travail. Que tu puisses nous expliquer ton métier et comment tu accompagnes ta cible. En fait, on va dire les femmes chefs d’entreprise ou en tout cas les femmes qui sont en reconversion professionnelle. Je vais te laisser te présenter.

– Sophie Lion
Génial, déjà merci Célia, de m’accueillir. Je suis contente parce que c’est la première fois que je suis interviewée. Je suis vraiment ravie.

Je suis Sophie Lion et ça fait maintenant 5 ans que je suis business coach. J’accompagne principalement des chefs d’entreprises féminines. Que ce soit des personnes qui sont en reconversion ou des personnes qui ont besoin d’aller un peu plus loin dans leur travail.

Ma spécialité, c’est vraiment clarifier la vision, poser des objectifs et bien sûr, développer un mindset business pour pouvoir aller encore plus loin. Et surtout passer à l’action. Parce qu’une des choses dont je me suis rendu compte, c’est que souvent, les gens n’avaient pas forcément une vision claire. Ils avaient du mal à passer à l’action et vraiment, c’est vraiment là que j’interviens.

Voilà donc une des choses les deux formes d’accompagnement : un accompagnement individuel ou un accompagnement collectif. Moi, j’adore l’accompagnement collectif. C’est vrai que c’est un truc qui me booste énormément. Donc, par le biais d’un mastermind.

– Célia Petrissans : « Ça consiste en quoi précisément un petit peu le mastermind ? »

– Sophie Lion
Le Mastermind en fait, ça s’appelle la meilleure année de ta vie. Ça commence en général au début janvier et ça se finit à la fin de l’année. Ça porte bien son nom. L’idée, c’est d’être accompagné pendant toute une année. Il y a des gens qui viennent d’une année sur l’autre, donc c’est assez sympa. On les accompagne donc de 1 an, 2 ans, etc. Et donc, ce sont deux appels par mois collectifs où on va justement poser les objectifs. On va vraiment clarifier sa vision, savoir ou est ce que l’on veut aller pour le mois suivant.

Et le deuxième appel, c’est un appel où on va plutôt allez comprendre. Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui fait que je suis freiné ? Ce qui est super intéressant, c’est vraiment le partage, les échanges avec les gens. Ça fait de l’émulation et surtout, ça vient prendre conscience que finalement, à un moment donné, on a tous cette petite voix dans la tête qui fait que l’on se dit « ouais, mais je ne veux pas y arriver, c’est compliqué ».

Le fait de partager ça, de partager cette vulnérabilité, ça nous permet d’être encore plus forts. Et ça, c’est vraiment une des choses que j’adore.

– Célia Petrissans
D’accord, on est très bien, mais en fait, effectivement, on se rend compte qu’en tant que dirigeant d’entreprise, même si on a des secteurs d’activité qui sont très différents. En définitive, on a effectivement les mêmes problématiques en termes de développement de cet effet.

Ça me semble vraiment intéressant parce que c’est un des problèmes des dirigeants d’entreprise. Je pense qu’au départ, c’est l’accompagnement. C’est le fait de se lancer au départ. Pour certains, c’est seulement d’avoir besoin d’être entouré par des personnes qui ont une activité plus ou moins similaire pour justement se serrer les coudes, se donner des conseils et pouvoir échanger sur les problématiques rencontrées.

– Sophie Lion
Tout à fait. En fait, on est finalement la moyenne des cinq personnes avec lequel on passe le plus de temps. Donc, si on est avec des personnes, ou alors on va aller s’appuyer sur son conjoint, sur sa famille. Eux, on va voir le reflet de leurs propres peurs parce qu’ils ont envie qu’on réussisse. Mais du coup, ils se disent « Ca va arriver et ça ne va pas y arriver ». Ils n’ont pas toujours les bons mots à nous fournir, finalement.

Donc, en étant avec des personnes qui sont bienveillantes, des personnes qui ont le même état d’esprit que nous, on va pouvoir justement se serrer les coudes. Comme tu le disais très bien. On va forcément trouver des solutions, ou se rendre compte que finalement, on est tous, on passe tous par des moments de « up and down ». Et c’est ça qui permet justement d’avancer parce que ces « up and down », il faut les vivre. Mais surtout, c’est ce que j’en fais et comment je fais pour avancer, quand je suis dans le down qu’est ce que je fais ? Comment je fais pour m’entourer des bonnes personnes, pour pouvoir justement continuer à ne pas sombrer ?

Parce que tu te dis, qu’est ce qu’il se passe, comment je peux faire ? Ou alors un truc qui est typique de mes entrepreneurs, c’est d’aller dans tous les sens et de se dire « Ah tiens, j’avais envie de développer ça à développer et développer ça ». Et du coup, on va avec derrière. Ce qu’on appelle le « shiny object », c’est l’objet qui brille ou ça a l’air bien c’est nouveau ça. Le recentrer toujours pour pouvoir avancer.

Une de mes forces, c’est d’apprendre à demander. Car beaucoup de gens n’osent pas demander. Mais moi, je pense que c’est par rapport à mon histoire, mon parcours et aussi le livre que j’écris. J’ai envie d’apprendre aux gens à demander.

– Célia Petrissans
Et aussi à prendre un peu de recul parce qu’effectivement, souvent, on est peut-être face à un problème, mais en fait, le problème, il n’est pas identifié. Si on ne prend pas suffisamment de recul ou si on ne fait pas remarquer les choses, on ne se rend pas forcément compte qu’il y a un problème. Et je pense que cet accompagnement mastermind. Ça permet déjà de prendre du temps pour soi pour repenser à son développement et d’arriver à s’extraire des problèmes. En tout cas, du courant pour réfléchir justement à sa stratégie. Je pense que vous devez définir peut être une vision et poser des objectifs ?

– Sophie Lion
Tout à fait, tous les mois, j’ai créé un cahier d’exercices et on est ensemble. On va premièrement célébrer parce que ça, c’est un truc très important. On oublie tout le temps « Ah Ça y est, je l’ai fait », mais bon on célèbre pas mal. Et tous ensemble, on célèbre « attend, j’ai réussi à faire ça ». « De quoi t’es contente ? » Le mois dernier, vraiment c’est cet état d’esprit vraiment positif. Et puis après dire ‘tiens, qu’est ce que j’ai envie de réaliser ce mois ci ?’

Ma technique, en fait, c’est de dire si tu veux faire. On a envie de faire plein de trucs, on se crée des listes et to do list interminables souvent. Voilà. Sauf que moi, je dis : « non c’est pas ça l’idée, c’est vraiment d’aller sur 2/3 objectifs maximum ». Et du coup, qu’est-ce que je mets en place ? Et j’apprends voilà, je donne des techniques de travail pour justement aider les gens à vraiment aller vers l’essentiel. Dans ce mastermind, on voit que les gens avancent à une vitesse folle mais aussi les retours que nous avons. C’est une aventure humaine en même temps.

Ce qui est génial, c’est digital. Pendant le confinement, j’avoue que j’étais contente d’avoir créé ça, bien sûr. Et du coup, on a des personnes, du coup, qui sont partout, partout où on a. L’an dernier, par exemple, j’avais deux personnes qui étaient de Singapour, qui étaient en Irlande, qui était à Lille, donc pas mal de personnes à Bordeaux forcément, parce que je suis de Bordeaux.

Je crois que c’est là que j’ai commencé, mais vraiment là où j’ai cette année, j’ai des gens de Lyon, et c’est ça qui est génial parce que du coup, on a aussi un échange comme ça, qui est fabuleux et une autre vision en même temps. Une émulation qui peut tout à fait un peu international.

– Célia Petrissans : Tu proposes également des accompagnements individuels pour quelqu’un qui veut avoir un accompagnement précis sur un domaine précis de son activité ?

– Sophie Lion
Tout à fait. Dans le cadre du Mastermind, il y a des personnes qui se font accompagner en collectif et aussi en individuel, envoyer un petit check. Et après ? Effectivement, dans le cadre, ceux qui veulent aller plus loin ou plus vite, c’est un peu différent parce que finalement, le coaching individuel, on va vraiment axer sur tous les aspects de sa vie. Aussi, parce que le mindset, ça se construit comment ?

Souvent, les gens viennent me voir : « Oui, je veux développer mon business ».

Très bien, c’est super. Mais si tu n’as pas le cerveau ou l’état d’esprit qui va avec, c’est clair que ça va être compliqué. Ça veut dire qu’on va passer par tous les domaines de ta vie et on va aller voir.

Qu’est-ce qui fait que dans ta relation avec l’autre, ça va ? Que ça ne va pas au niveau ta santé. Est ce que tu sais ce qui va ou ne va pas au niveau de ton fils ? Est ce que tu as vraiment suffisamment de fun ? L’idée, c’est d’avoir une roue de la vie un peu homogène pour pouvoir te sentir encore mieux, pour pouvoir justement aller après vers ton business. Et après ? Bien sûr, on parle de good business en soi.

Et puis quelles sont les actions que tu veux mettre en place ? Moi, je suis là, donc j’aime bien m’appeler un autre coach et qu’on ait des résultats. Parce que l’idée, c’est que si tu me payes, c’est vraiment avec l’envie d’avancer.

Du coup, j’ai vraiment envie de t’aider à développer et à te développer en tant que personne. Finalement, c’est un peu holistique comme accompagnants.

– Celia Petrissans :

D’accord, ok. Tu accompagnes principalement les femmes mais en réalité pas uniquement que les femmes. Même si ça reste ton coeur d’activité quand on fait les comptes.

Quelle est la différence pour toi de l’état d’esprit féminin ? Qu’est ce que tu rencontres comme principal axe de blocage ?

– Sophie Lion
Alors, je me rends compte que chez les femmes, la première chose c’est qu’elles n’osent pas demander. Ça ne sert pas à grand chose. Et souvent, il y a une vraie relation à l’argent.

Elles sont très bonnes pour donner, mais elles ne sont pas très bonnes pour recevoir. Moi, ce que j’aime mettre en place, c’est vraiment cette voie-là. Libérer la relation à l’argent, c’est vraiment les aider à comprendre leur valeur, à se presser elle-mêmes, à attirer plus d’abondance aussi. Il y a vraiment tout un travail.

Bien souvent, elles vont faire plein de choses plébéiennes, plein de partenariats. Mais au final, on n’a rien gagné. Moi, je dis « Attends, si tu veux créer une activité. L’idée, c’est quand même que tu vis avec et que tu puisses vraiment en vivre et profiter de ça. »

Les hommes ont moins ce problème et malheureusement, dans tous ces métiers parallèle, etc. Donc il y a plein de femmes qui ont du mal et je me rends compte que même en avançant dans l’échelle des grands postes, elles n’osent pas demander d’augmentation.

C’est vrai que ça, c’est une des premières choses que j’ai remarqué et aussi peut-être exprimé vraiment. Ce qu’elles ressentent aussi et qu’elles ne vont pas forcément dire.

Moi, j’aime bien les aider à prendre leur place et à être qui elles veulent être.

– Célia Petrissans : Ok. Non, mais ça me semblerait intéressant. Et je te rejoins sur l’état d’esprit peut être plus féminin, d’être moins sûr de soi, d’avoir peur de facturer et de facturer peut être plus cher que ses clients.

Effectivement, ce sont des problématiques que l’on rencontre sur les créatrices d’entreprise que l’on accompagne notamment. On se rend compte que c’est quand même une problématique majoritairement féminine, mais pas uniquement bien sûr. Mais en tout cas, il y a plus de blocages, je pense à ce niveau-là.

C’est pour ça que ça me paraît être un axe, en tout cas d’amélioration, de travail qui est essentiel si on veut développer son entreprise et vivre de son activité. Avoir une activité, c’est bien mais il faut effectivement qu’elle fonctionne. C’est la base pour pouvoir continuer et développer son projet.

– Sophie Lion
J’ai d’ailleurs créé un iBook qui s’appelle « Les 7 blocages des entrepreneurs face à l’argent ». On peut le télécharger. Il parle justement de ce bloquage que je n’ai plus mais que j’ai pu rencontrer. J’ai pas mal parlé sur cette problématique qui est vraiment typiquement féminine.

– Célia Petrissans : Est-ce que tu peux nous parler de ton livre que tu es en train d’écrire ?

C’est un super projet. Est ce que tu peux nous en dire un peu plus ? De quoi ton livre parle et comment tu mets les choses en application ? Parce que ça me paraît vraiment intéressant.

– Sophie Lion
Alors, mon livre. Il a un titre qui est « j’apprends à demander ». En fait, c’est l’art d’apprendre à demander et surtout de recevoir et remercier.

C’est un livre qui va expliquer toutes les étapes que j’ai pu réaliser moi-même dans ma vie. C’est un peu une loi de l’attraction en un peu plus pragmatique.

L’objectif, c’est vraiment d’aider les personnes à comprendre ce qu’elles veulent vraiment, poser leur vision. Ensuite, on va dire « comprendre et parler de son compte ». Ce que j’appelle « le big game » c’est d’en parler à tout le monde. À la fin, finalement utiliser son réseau, c’est bien ce qu’on veut. Par la suite accueillir ce qui se passe ou saisir les opportunités à droite, à gauche. Pour finir, remercier parce que c’est une des choses les plus importantes. Remercier les gens qui vous ont aidé parce que je ne sais pas si vous le savez, mais tout le monde veut vous aider à réaliser votre grand rêve.

Et ça, c’est vraiment important de le dire parce que souvent, les gens se disent « oui, mais non », ils n’osent pas. Je n’ose pas demander aux gens, mais si ! Il faut oser demander parce que tout le monde veut nous aider.

L’exemple, c’est que je cherche un éditeur. Et j’ai trouvé a priori une personne qui était plutôt intéressée, donc un éditeur de développement personnel et qui m’a dit : « Voilà Sophie. Oui, c’est bien, mais est ce que vous avez vraiment du réseau ? ». Du coup, je me suis un peu piquée. Je m’y attendais aussi.

Moi, j’adore réseauter. Elle me dit ça. Moi, je me suis dit : « Restons calmes ». Une fois l’ego mis de côté, je me suis dit « Bon, comment je peux faire pour lui prouver ? »

Je me suis fait une petite vidéo avec beaucoup d’enthousiasme et de sincérité que j’ai posté sur LinkedIn, un réseau que j’adore. Et aujourd’hui, elle a été vue pas loin de 30 000 fois. Le post a été liké pas loin de 1000 fois et ça a été partagé, je crois pas loin de 200 fois. C’est un truc de malade.

Si je n’y arrive pas au pire, je me ferai de l’auto-édition. Mais dans tous les cas, si vous voulez m’aider et me soutenir, ça peut être sur le lien de la page que l’on va créer.

– Célia Petrissans
D’accord. Et puis tu as appris à demander dans un essai. C’est un bon conseil, mais en fait, on voit vraiment l’application Linkedin c’est un réseau qui est aujourd’hui extrêmement intéressant pour tous les professionnels, pour partager ses idées et ses projets.

Et là, tu as un retour qui est déjà exceptionnel et avec une réelle portée. Ça permet déjà de faire parler de ton livre. Tu as déjà des gens qui sont intéressés par ton livre avant qu’il soit édité. Donc, tu as des clients avant même d’avoir commencé à vendre ton livre. C’est pour ça que je pense que c’est vraiment un très bon exemple, très inspirant en tout cas.

– Sophie Lion
Merci. En tous les cas, c’est ce que je me rends compte que finalement, souvent, on s’empêche. C’est un peu ce que je raconte dans le livre. C’est par éducation, par peur du rejet. Il y a plein de choses qui font qu’on n’ose pas. Et finalement, c’est ce que je dis aussi parce que j’explique aussi comment utiliser LinkedIn, notamment dans des grandes écoles de commerce.

C’est vrai que ce qui est dingue, c’est que finalement, c’est cette peur. Et alors que si on n’ose pas, qu’est ce qu’on risque ? En fait, c’est un non. Et finalement, on est toujours à deux doigts, finalement, d’être proche d’une personne et d’être connecté à une personne qui va vouloir finalement vous aider.

Contrairement à ce que l’on peut penser, beaucoup de gens adorent aider. Si vous en parlez avec enthousiasme et avec coeur, d’un projet que vous portez, c’est sûr que tout le monde va vouloir vous aider, vous accompagner et ceux qui ne veulent pas, ils s’écartent d’eux même.

– Célia Petrissans
On s’en rend compte, on se met souvent des freins et je pense que tu as raison de demander, il faut oser demander. On parle beaucoup de sortir de sa zone de confort et c’est aussi un des éléments clé dans la réussite d’un entrepreneur. Puisqu’un entrepreneur, c’est quelqu’un justement qui porte des projets parfois ambitieux et en tout cas qui osent des choses.

– Sophie Lion
C’est vraiment aller au-delà de cette petite voix interne qu’on a tous parce qu’on se dit « ouais non mais lui » mais tout le monde à cette voix. Et en fait, tout le monde a cette petite voix qui te dit « tu ne vas pas y arriver ». Et en fait, c’est l’idée d’arriver à dompter cette espèce de voix qui vient et de la regarder et se dire « bon, qu’est ce que j’en fais? Je la mets de côté, elle est là, mais je la dompte et du coup, j’ose et je saute. »

– Célia Petrissans
Non mais c’est vrai !

– Sophie Lion
On ne sait pas si le parachute va s’ouvrir, mais à un moment donné ou un autre…

– Célia Petrissans
Il faut prendre des risques, je pense et c’est en tentant des choses qu’on peut réussir. Si on ne fait rien, il ne se passera jamais rien de toute façon.

– Sophie Lion
L’enthousiasme, la sincérité comme je disais tout à l’heure c’est très important, ça nous fiât vibrer. Et puis, si on est un peu spirituel, forcément, on va dire voilà l’univers, etc. Mais c’est vrai que plus on vibre, plus les gens le sentent et ça fait comme une espèce de bulle.

Je lisais un livre, tiens, il y a quelques jours, qui parlait d’une toile d’araignée. Et finalement, ce sont ces espèces de liens qui nous unissent tous et finalement ces liens quand on vibre quelque chose de positif, les gens le sentent. Ils ont envie de continuer d’être dans cette vibration.

C’est vraiment ça, cette espèce de toile d’araignée, parce qu’on est tous plus ou moins connectés. Partagez votre rêve ! Allez-y ! Je pense qu’on en a tous un au fond de nous-mêmes. Et ce qui est intéressant, c’est que quand on a un enfant, on n’a pas peur de demander. On n’a pas peur de partager. Qu’est-ce qui fait que nous, les adultes, on oublie?

– Célia Petrissans
On se met des barrières.

– Sophie Lion
Tout à fait. Alors qu’en fait, ce rêve, on l’a encore enfouit en nous et ça demande juste à être révélé.

– Célia Petrissans
Très bien. Affaire à suivre sur ton livre. On a envie de voir ce qui va se passer pour la suite ! Qui va éditer ton livre ! J’ai hâte de pouvoir découvrir ton livre.

– Sophie Lion
Merci, c’est gentil.

– Célia Petrissans
Sophie, comment on te retrouve alors ? si quelqu’un est intéressé pour venir découvrir ton mastermind ? Ou qui a peut être besoin d’accompagnement peut être plus personnalisé ? Comment ça se passe ?

– Sophie Lion
Il suffit d’aller sur Sophielion.fr, de me chercher sur les réseaux Sophie Lion c’est assez facile à se souvenir. Vous pouvez me retrouver sur mon site, sur LinkedIn. Je suis sur tous les réseaux. J’ai même une chaîne YouTube comme toi où j’interviewe des gens. Je veux réaliser des petites vidéos inspirantes sur différentes choses, je fais des conférences, je fais pleins de choses !

– Célia Petrissans
Oui, j’imagine que tu ne t’ennuies pas ! En tout cas, merci Sophie. Merci pour cette interview. Merci d’avoir accepté de nous partager tes conseils. Et puis, on se retrouve très bientôt avec ton livre, notamment, j’espère. On a hâte de découvrir ça.

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