(transcription texte de la vidéo)
Optimiser ses revenus et investir en location courte durée.
Celia Petrissans – Bonjour Steven et déjà merci d’accepter cette interview, de venir partager avec nous ton expérience a propos de l’investissement en location courte durée.
Bienvenue chez PMC Expertise comptable. Sur notre chaine Youtube PMC, on partage du contenu à destination des entrepreneurs, des créateurs d’entreprise, mais également des investisseurs immobiliers.
Aujourd’hui, on est sur la thématique immobilier. Toi Steven, je vais te laisser présenter, mais tu es spécialisé sur la location courte durée. Tu vas pouvoir nous partager justement toute ton expérience à ce niveau-là.
Je te laisse peut-être pour commencer te présenter.
Quel est ton parcours et pourquoi Investir en location courte durée ?
Steven Giron – Merci Célia, déjà pour ton invitation. C’est avec plaisir que j’interviens aujourd’hui. Effectivement, je m’appelle Steven Giron.
Aujourd’hui, je suis un coach consultant spécialisé en stratégie de commercialisation et automatisation de location courte durée. Dit comme ça, ça parait un peu barbare.
Concrètement, ce que je fais, c’est que j’accompagne des propriétaires investisseurs et également des conciergeries dans l’optimisation de leur bien en location courte durée. Je leur apporte des solutions pour les aider à mieux remplir leurs calendriers, booster leurs revenus et automatiser leurs systèmes de gestion.
Bien sûr, avant de faire ça, j’ai un parcours qui n’a rien à voir avec ça. Pour tout dire, en fait, à l’époque, j’étais sportif, ancien, sportif de haut niveau et j’ai eu un accident de voiture. Cet accident de voiture a mis fin à ma carrière sportive du jour au lendemain. Je me suis retrouvé sans rien, pas d’épargne ni rien. Il fallait que je trouve des solutions pour me relancer.
Donc, au début, j’ai un peu écouté tout le monde. J’ai fait tout ce qu’on m’a dit de faire, reprendre des études, trouver un travail normal. Mais pour moi, ça ne correspondait pas forcément à mon profil. Et ce n’était pas ce sur quoi, j’étais vraiment motivé à bosser. Du coup, j’ai arrêté donc, je n’ai pas été jusqu’à la fin de mes études, j’avais commencé un BTS.
J’ai arrêté et j’ai cherché des solutions autres pour atteindre mon objectif. En fait, à la Base, c’était obtenir mon indépendance financière, ma liberté financière. Donc c’était vraiment générer des revenus passifs. J’avais déjà cet esprit en tête. Sauf que je n’avais pas du tout comment faire. Donc, en cherchant un peu partout, je pense que le profil d’investisseur, quand ils cherchent, qui veut investir, gagner de l’argent. On va chercher un peu partout dans les blogs, les forums, sur YouTube, etc.
Taper des mots pour gagner, justement, son indépendance financière. Moi, un jour, je suis tombé sur une vidéo YouTube où on voyait justement une personne qui racontait comment elle était devenue libre financièrement grâce à l’immobilier.
Pour moi, à ce moment-là, ça a été le déclic parce que je ne connaissais pas grand chose à ce milieu-là. Mais je me suis dit ça peut être vraiment une très bonne porte de sortie. En tout cas, par rapport à mes projets d’avenir, je me suis dit aujourd’hui, je n’ai rien à perdre, donc autant tout faire pour avancer le plus rapidement possible dans l’immobilier.
Donc, à partir de là, je partais vraiment de zéro. Quand je dis zéro, c’est que j’étais au RSA, je vivais chez ma mère, j’avais vraiment rien de rien. Et du coup, à ce moment-là, je découvre l’immobilier, je me forme et je développe des compétences rapidement. Et je trouve deux CDI en parallèle. J’avais réussi à reprendre mon activité de foot par laquelle j’étais rémunéré avant. Cela me faisait plusieurs sources de revenus pour investir rapidement dans l’immobilier.
En fait, comme j’ai dit, mon objectif, c’était de quelque part maximiser mes revenus en exploitant les différentes techniques d’investissement immobilier qui existaient. J’ai découvert la stratégie de la location courte durée. Pour moi, je me suis dit ça pourrait être vraiment le compromis parfait pour générer un maximum de revenus. La contrainte que je n’ai pas, c’est que ça soit chronophage. C’est que je ne vais pas y passer vraiment trop de temps.
Je sais qu’il y avait pas mal d’idées reçues sur ce côté activité de location courte durée qui est chronophage, qui, du coup, peut être assez compliquée à gérer suivant le secteur où n’est pas forcément très rentable sur toute l’année.
Malgré ces contraintes, je me suis quand même lancé. Je n’ai pas fait en sorte d’écouter tout ce qui se disait làdessus. Je me suis préparé effectivement à lancer comme il faut mon investissement. Donc, j’achète un appartement que j’ai divisé en deux pour l’exploiter en location courte durée. En fait, ce qui s’est passé, tout simplement, c’est que je m’étais préparé en amont. Ça s’est bien passé, ça s’est bien lancé. J’ai bien rempli mon calendrier.
Dès le départ, j’ai généré pas mal de revenus. Sauf que le petit bémol qu’il y avait, c’est que je passais trop de temps sur la gestion de mon bien. Tout ce qui était entrée/sortie, ménage, linge, gestion des échanges voyageurs, tout ça, c’était vraiment chronophage et c’est tout ce que je voulais.
À la fin de cette première année d’activité, je fais un petit bilan et je me rends compte que le niveau des revenus générés c’était bon. Je faisais partie de la tranche moyenne haute par rapport à mon secteur des locations exploitées sur mon secteur en location courte durée, je suis dans la tranche moyenne haute.
Celia Petrissans : « Tu es sur quels secteurs ? »
Steven Giron – Sur la côte basque du coup, sachant qu’il y a vraiment pas mal de concurrents, surtout que c’est un secteur très saisonnier. Et malgré ça, j’ai réussi à avoir un taux de remplissage à l’année d’environ sur la première année, entre 85 et 90 % de remplissage. Voilà des bons revenus sur les deux appartements cumulés, à peu près 33.000 euros de revenus sur cette première année. Sauf que le Bémol, comme je le disais, c’est que je passais à peu près 15 heures par semaine sur la gestion des biens.
À partir de là, je fais ce bilan et je me rends compte que je ne suis pas vraiment satisfait des résultats, même en temps de revenu. Parce que je me suis rendu compte que j’avais fait pas mal d’erreurs au niveau des stratégies tarifaires. J’ai fait beaucoup d’erreurs, tout simplement que j’avais baissé mon prix défaut, que je n’aurais peut-être pas dû. Je n’avais pas cette maîtrise du marché encore.
Pareil en terme de temps de gestion, j’ai passé trop de temps, comme je le disais. Du coup, ce que j’ai fait après cette analyse. C’est que j’ai cherché à optimiser ma stratégie pour avoir les meilleurs résultats possibles, aussi bien en terme de revenus financiers. Parce que, comme j’ai dit, mon objectif, c’était plus maximiser mes revenus à ce but d’indépendance financière et d’optimiser mon système de gestion pour avoir le moins de temps possible à passer sur mes locations.
A partir de là, j’ai mis en place tout simplement différentes stratégies qui m’ont permis, l’année d’après, de complètement exploser mes résultats parce qu’en l’espace d’un an, j’ai pu augmenter mes revenus de 40 %.
Je suis passé de 33.000 à 46.000 euros de revenus et en termes de temps de gestion. Parallèlement à ça, je suis passé de 15 heures par semaine à moins de 30 minutes par semaine. En gros grâce à ce modèle, ce système que j’ai développé et que j’ai mis en place, c’est le système qui m’a permis aujourd’hui de développer et ce qui me permet aujourd’hui d’accompagner les différents clients sur leurs projets d’optimisation de location courte durée.
Celia Petrissans : « Au départ, tu étais sur un mi-temps ? Tu ne déléguais rien, tu faisais tout toi-même ? »
Steven Giron – Alors, en terme de temps de gestion, c’était quasiment ça. Au tout début oui, mais après, je rentre une seconde phase assez rapidement. Je suis venu en phase de délégation. Sauf qu’il y avait toujours des complications par rapport aux prestataires de ménage à trouver. Je sais que c’est une grosse problématique en général chez la plupart des gens. Justement, j’ai testé plusieurs formats en terme de prestataires de services, prestataires de ménage.
Là-dedans aussi, il y a des choses à éviter, à faire. Il y a des préférences aussi à avoir. Par rapport à ça, justement, si j’étais petit conseil à donner, c’est travailler avec des professionnels, c’est mieux. Quand je dis professionnels, ce n’est pas forcément, souvent, on va chercher à déléguer le ménage, par exemple, pour économiser un maximum d’argent au voisin d’à côté ou à quelqu’un qui a quelques heures à dépenser sur le ménage linge. Sauf que la problématique, c’est que du coup, à tout moment, si la personne elle a un problème, on est foutu.
S’il y a un pépin qui arrive, ça ne peut pas gérer les biens. On est coincé, on ne peut rien faire. C’est pour ça que c’est mieux d’avoir quelqu’un, soit qui a déclaré ça en tant qu’activité principale, prestataire de ménage, qui est déclaré entrepreneur. Ou alors une société de ménage, c’est le mieux. Et pour ceux qui n’ont vraiment pas envie de s’en occuper, il y a des conciergeries qui existent.
Dans tous les cas, il y a moyen de s’en sortir.
Célia Petrissans – Donc par exemple, aujourd’hui, si tu avais un conseil à donner à quelqu’un qui investit dans un appartement et qui veut commencer à mettre en place de la location saisonnière… Parce que toujours les freins, on les connait, c’est le temps de gestion, le risque, etc. Là, tu conseillerais déjà, dans un premier temps de déléguer une partie ?
Steven Giron – Alors par rapport à ça, je vais faire une nuance hyper importante sur ce que tu viens de dire. Justement, ça me fait me rappeler ça. Parce que c’est pareil, il y a location saisonnière et location de courte durée.
Donc je sais que dans l’usage commun, tout le monde parle de location saisonnière. Mais moi, je fais vraiment la distinction parce que ça ne va pas être le même mode d’exploitation et les mêmes stratégies qu’on va mettre en place.
Ca m’a rappelé que le côté location saisonnière, c’est propre à la saison. C’est essentiellement l’été ou l’hiver. Du coup, c’est là où on fait en termes de gestion de biens. C’est plus abordable parce qu’on va trouver des personnes dédiées pour ce genre d’activité juste pour la saison. Ça sera plus simple à gérer.
Alors que déjà, la location courte durée, pour compléter la location saisonnière, ça va s’adresser à un certain type de voyageurs. Location saisonnière, c’est essentiellement touristique.
Si on est amené, par exemple, à avoir ce genre de crise comme on est actuellement ou des événements qui viennent perturber un peu l’activité, ça va être contraignant. Alors que là, si on fait de la location courte durée, l’objectif, c’est d’être rentable et louable sur toute l’année.
Bien sûr, il peut y avoir des pics saisonniers où on va mieux louer en période estivale ou hivernale, s’il y a des périodes d’autres saisons. Mais l’objectif, c’est de pouvoir être rentable un minimum sur toute l’année. À partir de là, c’est d’abord une activité qui tourne toute l’année et du coup, c’est d’avoir des prestataires qui soient disponibles sur toute l’année. Donc, rien que par rapport à la contrainte, ce n’est déjà pas la même chose.
La première nuance que je voulais faire par rapport à ça et aussi sur le fait de la clientèle. Saisonnier comme je t’ai dit touristique et LCD, location courte durée, c’est qu’on peut toucher un autre type de voyageur, par exemple des professionnels. Donc, s’il y a des cas de confinement ou quoi, il y a des professionnels qui seront toujours en déplacement. On peut donc s’adapter au marché.
C’est pour ça que le côté location de courte durée, pour moi également, ça n’a aucune chance d’être perturbé. Peu importe la situation dans laquelle on est.
Et pour aller encore plus loin que ça, aujourd’hui, la location de courte durée. Peu de gens ont vraiment la notion de ce que ça engage, par exemple. Aujourd’hui, je vois beaucoup de gens qui disent : « je ne peux pas louer à la nuit, à la semaine. Du coup, j’arrête, je passe en location classique. »
Sauf que ça, quelque part, c’est se tirer une balle dans le pied parce qu’aujourd’hui, il y a des solutions de ce que j’appelle des stratégies de repli. Quand on fait la location, de base, bien sûr, on va chercher à louer à la nuit, à la semaine peut-être mais on peut faire des baux qui vont jusqu’à 90 jours. Si on est dans une situation, on ne peut pas louer ou il n’y a pas de réservation à la nuit ou à la semaine.
Il suffit tout simplement de mettre quelqu’un au mois. Si on veut, on peut mettre quelqu’un au mois sur des contrats de 1 mois, 2 mois ou 3 mois. C’est tout à fait légal. On a le droit de faire ça et ça reste de la location de courte durée. Et dans ce cas-là, si on fait ça, au final, on n’est jamais perdant. On peut même potentiellement louer plus cher que sur le marché classique. Quelqu’un qui fait de la location classique aujourd’hui, va louer…
J’ai pris le cas de mon exemple concret sur un de mes appartements. Si je faisais de la location classique, un de mes studios se lourait 500 euros par mois, par exemple. Alors que si je le laisse en courte durée et que je loue juste au mois (ponctuellement ou sur des périodes de 3 mois), je pourrais louer au moins 50 % plus cher que sur le marché. Par exemple, j’ai fait une annonce teste à 750 euros au lieu de 500 et j’ai eu de la demande.
Il y a des gens qui sont demandeurs. Ils ont besoin d’un logement temporaire uniquement ponctuel sur un mois donc de ce côté-là, il n’y a aucun risque. C’est pour ça que pour moi, c’est toujours le côté tout-puissant, la location courte durée.
Celia Petrissans – Tu touches une autre catégorie de clientèle ? Notamment des professionnels, par exemple, qui ont besoin ponctuellement d’aide sur une région pendant un mois ou deux mois. C’est ça, la typologie ?
Quel type de clientèle touches-tu ?
Steven Giron – Ça peut être des professionnels, ça peut être des gens qui ont des projets d’investissements immobiliers, qui vont dans une région la découvrir, qui cherchent à acheter dans un secteur. Ils ont besoin de passer du temps, faire des visites, etc. Ils vont louer, chercher à louer un mois, par exemple. Ou il y a des stagiaires, des étudiants qui vont chercher à louer qu’un seul mois.
On peut s’adapter comme ça.
Celia Petrissans – C’est comme ça que tu t’adaptes actuellement. Ça te permet de garder, de pratiquer les tarifs au-delà enfin supérieur au prix du marché en tout cas.
Steven Giron – Aujourd’hui, dans la situation actuelle, c’est vrai que je parle de cette stratégie de repli. On peut faire comme ça. Moi, j’ai gardé le mode d’exploitation en location de courte durée classique. En mode, je loue à la nuit à la semaine. Je n’ai pas mis mon annonce, par exemple sur Le Bon Coin.
J’ai des séjours, donc là actuellement, ça tourne. Même si je suis aujourd’hui à 10.000 km de chez moi grâce au système que j’ai mis en place, tout tourne. Ça reste rentable.
J’ai des voyageurs qui viennent. Effectivement, c’est une clientèle plus professionnelle. Grâce en fait, aux stratégiques que je mets en place, je peux continuer à louer en courte durée via les plateformes de formation, par exemple via mon site Internet. Mais c’est vraiment une question de stratégie.
Parce qu’aussi aujourd’hui, beaucoup d’erreurs qui sont faites par la plupart des gens, c’est ceux qui vont chercher à baisser le prix en pensant que ça va les aider à louer, à remplir leur calendrier.
Sauf qu’aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Certains continuent toujours à galérer « à louer d’autres en baissant les prix ». Ça n’attire pas forcément des voyageurs de très bonne qualité. Ils se retrouvent au final à avoir des biens qui sont dégradés. Quelque part, c’est normal parce qu’ils n’appliquent pas forcément les bonnes stratégies. C’est pour ça que je reviens souvent sur ce concept de stratégie pour pouvoir optimiser ses revenus par la suite.
Célia Petrissans – Toi dans ton cas, c’est ce qui permet de maximiser tes loyers et qui t’a permis de passer une étape à partir de la première année.
Steven Giron – Exactement. Justement, grâce à ça, c’est que mon objectif et l’objectif qu’on devrait mettre en place si on veut vraiment vivre de cette activité de location courte durée. C’est de se dire faut faire partie des top loueurs. Ce sont ceux qui vont apporter la meilleure qualité de service, la meilleure prestation, la meilleure qualité d’annonce aussi, qui vont créer de la valeur. De sorte à ce que même s’il y a une baisse de fréquentation au niveau des voyageurs, que le peu de voyageurs qui vont chercher à réserver dans un secteur dans une ville, ils tombent sur votre annonce pour réserver.
Si on n’a pas mis au préalable des bonnes stratégies et qu’on fait comme tout le monde n’a pas forcément mettre des annonces qualitatives, mettre des photos à l’arrache où il y a très peu d’informations photos…
Célia Petrissans – Voilà, les détails sont parfois extrêmement importants. C’est ça qui fait la différence.
Steven Giron – Oui, c’est exactement ça. Ça se joue sur la qualité de l’annonce. C’est pareil sur la notion de prix. Ce sur quoi je sensibilise beaucoup, c’est que la notion de prix, quelque part, c’est une donnée, c’est une création de valeur en fait, le prix.
Le prix en soit, il ne veut rien dire. Si on baisse il faut que ça corresponde bien sûr au marché, à la clientèle cible. Le prix n’est pas forcément le seul critère à prendre en compte pour faire en sorte de faire remplir son calendrier.
Célia Petrissans – C’est vraiment de la création de valeur qu’on va faire pour construire ce prix. Ça peut être le service, la qualité, se rapprocher peut être de prestations hôtelières pour se démarquer au niveau du secteur. La déco, ce sont tous ces éléments-là qui jouent.
Steven Giron – C’est exactement ça. Parce que tu vois, par exemple, là, je suis arrivé il y a pas longtemps à la Réunion. J’ai fait des recherches pour séjourner dans des logements et je voyais des biens, c’était dommage parce que je pense que la qualité du bien, elle était là, mais tellement l’annonce, elle était de mauvaise qualité, que ça ne m’a pas donné envie de réserver.
Parallèlement à ça, tu as des gens qui, pareil, vont chercher tellement à baisser le prix parce qu’ils ont peur de ne pas le louer et qui ont un bien hyper qualitatif, mais vu que le rapport qualité prix qui se crée derrière, il est incohérent ça fait peur.
Tu te dis si le prix, le bien, il est hyper qualitatif, mais le prix n’est pas assez cher. Tu te dis qu’il y a peut-être quelque chose qui ne va pas quelque part. Donc, c’est vraiment ce côté ratio rapport qualité/prix qu’il faut réussir à avoir pour maximiser ses revenus derrière.
Cela passe par beaucoup de qualité de l’annonce.
Célia Petrissans – En fait, c’est une gestion entrepreneuriale. Il faut vraiment faire le point sur son positionnement. Tous les éléments, quasiment comme une entreprise classique.
Steven Giron – Aujourd’hui, pour moi, vraiment et tu fais bien d’en parler. C’est que si on veut se lancer dans la location courte durée et réussir là-dedans dans cette activité, en tout cas qu’on va avoir des résultats concrets, il faut avoir déjà le mindset entrepreneur. C’est l’état d’esprit d’entrepreneur parce qu’on se retrouve à gérer. Ce n’est pas faire de la location classique comme on fait de l’investissement immobilier classique, on va mettre un locataire qui est là toute l’année. On peut le laisser tourner, on s’en fout.
Là, il y a plus de choses à gérer. On va devoir gérer l’administratif, la commercialisation, un peu le côté marketing, la communication, gérer une équipe. Il y a tous ces systèmes à gérer.
Du coup, si on n’a pas se mindset entrepreneurial derrière ça plombe l’activité et on n’arrive pas à développer efficacement. C’est vraiment un mindset à avoir. Les personnes qui veulent se lancer dans la location courte durée aujourd’hui, il faut qu’elles aient cet état d’esprit d’entrepreneur : entrepreneur de l’immobilier.
Bien sûr, c’est tout simplement professionnaliser son offre. Arrêter d’être un amateur qui prend des photos avec son smartphone et c’est un peu professionnaliser les choses. Afin que les choses aient vraiment l’air professionnelles qualitatives. Voilà, c’est travailler sur tous ces aspects-là. Oui, c’est une démarche entrepreneuriale.
Effectivement, tu vois le côté pro parce qu’aujourd’hui, il y a de plus en plus de monde sur le marché de la location courte durée. Il y a des gens qui se lancent. L’avantage, entre guillemets, c’est que la plupart des gens le font à l’arrache. Donc, ce n’est pas forcément un problème pour ceux qui vont se professionnaliser, ils vont réussir facilement à sortir du lot. Et c’est pareil, c’est comme aujourd’hui là, je vais partager une pépite.
C’est qu’aujourdhui, beaucoup, beaucoup de monde pense que pour faire de la location courte durée, il faut être présent sur Airbnb. Tout le monde parle de faire du Airbnb etc.
Aujourd’hui, la plateforme la plus puissante pour faire la location courte durée, c’est Booking en réalité. J’ai sorti des stats récemment qui montraient que sur les 12 derniers mois, par exemple, la plateforme sur laquelle les voyageurs font le plus de recherche pour séjourner dans un secteur, c’est Booking en ratio 45 % et 33% à peu près airbnb.
Célia Petrissans – On n’a pas du tout l’impression oui. On assimile à la location courte durée Airbnb, en fait.
Steven Giron – Voilà, c’est ça. Après, je pense que c’est justement en rapport avec le côté saisonnier. Airbnb c’est bien pour des locations de vacances, par exemple. On ne va pas se projeter plus sur de la location de vacances sur Airbnb. Il faut savoir qu’il y a beaucoup de professionnels ou d’autres gens qui vont chercher à louer, mais pas sur Airbnb.
Beaucoup de professionnels qui bougent et ces professionnels ne passent pas sur Airbnb. Tous les gens qui aujourd’hui sont uniquement, par exemple sur Airbnb, littéralement, ils se tirent une balle dans le pied.
Moi, c’est pareil. Si aujourd’hui, j’avais fait comme tout le monde, si je m’étais mis uniquement sur Airbnb. C’est sûr et certain, je n’aurais pas ce genre de résultat. Parce qu’en termes de ratio, c’est toujours pareil. Mon ratio entre guillemets ça va être entre 60 et 70 % de réservation Booking et une autre partie Airbnb.
Même si après, j’ai d’autres stratégies via le développement de la visibilité en direct via mon site Internet, etc. Oui, mais voilà, entre la part Booking et Airbnb, c’est largement Booking qui est devant. Il y a un gros marché à prendre sur Booking.
Mais les gens ont un peu peur de booking alors que pour moi, c’est le meilleur outil professionnel, pour professionnaliser ses locations.
Célia Petrissans – « Pour la gestion sur les différentes plateformes. Tu utilises des outils pour optimiser tout ça ? »
Steven Giron – Ouais. Alors pour les outils, ça, c’est pareil. Ce que je conseille, bien sûr, c’est d’utiliser des outils qui vont permettre d’optimiser la gestion. Aujourd’hui, il existe des outils. Un outil, notamment, qui s’appelle un channel manager. C’est un outil qui va permettre de centraliser l’ensemble des réservations pour apporter plus de fluidité.
Exemple concret si on est présent sur différentes plateformes de réservation Booking, Airbnb et autres en utilisant le channel Manager, ça va synchroniser les calendriers depuis ces différentes plateformes.
On va pouvoir mettre en place les tarifs qu’on va pouvoir piloter aussi automatiquement. Et pour certains channel manager, on va pouvoir aller vraiment plus loin avec des systèmes d’échange de mails automatisés, d’envoi de contrats de location dématérialisés, gérer les encaissements des cautions…
Voilà ça c’est le genre d’outil que moi, j’utilise et que je mets en place pour les personnes que j’accompagne. C’est indispensable à mettre en place aujourd’hui, quand on fait de la location courte durée qu’on veut se professionnaliser et avoir plus de liberté.
Aujourd’hui, si je n’avais pas ce type d’outils de système, avec mes appartements qui sont en métropole aujourd’hui. Je serais coincé dans ce cercle à devoir être à l’affût de tout ce qui se passe, alors que là, j’ai des réservations qui tombent. Je ne suis pas chez moi, tout est OK. J’ai mon équipe qui est sur place, qui gère sans forcément également le déléguer à une conciergerie parce qu’on peut très bien le faire.
Mais moi, je ne fais pas tout simplement parce que je n’ai pas envie que ça impacte trop ma rentabilité et aussi parce que j’ai une équipe qui bosse sur place, des prestataires qui sont là en cas de pépin. Je n’ai pas de souci à me faire. Tout est automatisé ou délégué sur place.
Célia Petrissans – Oui, en fait, c’est reprendre un peu les codes d’une conciergerie et se les appliquer à soi et d’une gestion hôtelière, c’est prendre les outils des outils professionnels et plus de paramètres, etc. On met en place tout un système pour justement, ne pas forcément avoir besoin d’une conciergerie pour faire cette gestion-là.
Steven Giron – Oui, c’est adapter le monde de l’hôtellerie et tout ce qui est un peu professionnalisé. S’adapter à soi en tant que particulier, sachant que c’est toujours la même chose pour moi si on se lance dans la location courte durée il y a deux objectifs.
En général, c’est ça qui revient : soit avoir un complément de revenu assez confortable, donc on a un taf qui nous plaît, etc. On veut seulement avoir un complément de revenu. On ne cherche pas forcément à atteindre l’indépendance financière, multiplier les acquisitions.
Célia Petrissans – Oui ça peut être du patrimoniale enfin mixer un peu du patrimonial avec un petit complément de revenu mensuel. Pas agressifs dans le terme d’investissement immobilier rapide pour gagner son indépendance.
Steven Giron – Voilà donc le premier objectif est le complément de revenu. Ou alors, pour les plus ambitieux, c’est rapidement l’indépendance financière. Ce sont les deux profils qui reviennent le plus souvent quand on fait la location courte durée. C’est vraiment soit complément de revenus, soit indépendance financière. Si ce n’est pas dans ces deux objectifs-là, il n’y a pas forcément d’intérêt à faire de la location courte durée. Autant faire la location classique comme tout le monde et attendre 20 ans ou acheter 20 appartements avant d’être rentier.
Mais voilà, l’objectif de la location courte durée aujourd’hui, pour moi, c’est vraiment un accélérateur de potentiel pour quelqu’un qui veut vite avoir des revenus, un complément de revenu ou alors atteindre l’indépendance financière.
Si on met en place les bonnes stratégies, on peut arriver à rentabiliser extrêmement bien son investissement. Après, soit on passe du temps pour progressivement élever son niveau de service seul.
Soit on fait appel à une conciergerie, mais ça a un impact sur la rentabilité. Ou alors on se fait accompagner, par exemple, par des professionnels comme toi qui ont déjà mis en place ça et qui permettent d’accélérer les choses. C’est ça. Après, c’est ce que tu proposes.
Celia Petrissans – Tu peux proposer une sorte d’accompagnement à la mise en place de toutes ces stratégies, de tous ces outils. Tu proposes ce type de services ?
Steven Giron – En fait, c’est ça. C’est qu’aujourd’hui, grâce à ce que j’ai mis en place pour mes locations. J’ai réussi à modéliser tout ça autour d’un système que j’ai mis en place, soit pour les clients que j’accompagne. Mon type d’activité est très peu connu.
Ce n’est pas un métier à part entière, on ne fait pas d’études pour faire ça, mais ce sont des systèmes qui se développent, qui se mettent en place. Donc aujourd’hui, soit je le mets en place pour mes clients ou alors, j’ai ce format formation en ligne pour ceux qui veulent apprendre à le faire eux-mêmes, tout simplement.
En général, c’est sur ces deux types de formats que j’accompagne. Je le mets en place pour eux et je les accompagne sur la manière stratégique aussi. Ou alors c’est sur un format formation en ligne format vidéo.
Deux Niveaux d’accompagnement. Quelqu’un qui veut se le mettre en place seul peut prendre la formation et après implémenter tout seul, mettre en place toutes les stratégies que tu présentes. Ou alors, si quelqu’un n’a pas du tout envie de s’en occuper ou un minimum, on va dire au départ, tu viens et tu fais le point. Tu dis : « il faut faire ça », tu fais les choses à sa place au départ.
C’est ça la personne qui n’a pas de temps à consacrer… En plus ce qui est parfait, c’est qu’on peut faire ça à distance. La plupart des gens que j’accompagne, c’est à distance en visio. Il n’y a pas besoin d’être sur place à côté.
La personne qui n’a pas le temps ou les compétences ou n’a pas envie de se prendre la tête avec la technique, c’est des choses qui sont mises en place par moi et mon équipe sur l’automatisation et le système, justement d’automatisation.
Également, le côté accompagnement stratégique sur les bonnes pratiques pour booster les revenus. Parce que pour moi, ça va de pair. On cherche à automatiser, il faut que derrière on cherche aussi à rentabiliser son bien. Ce n’est pas qu’automatiser.
Célia Petrissans – Les deux c’est automatiser et gagner du temps et ensuite maximiser les revenus. Tu vas louer plus cher sur des périodes de très haute saison ou les périodes où c’est extrêmement demandé. Il y a ces deux éléments d’accord. Et aujourd’hui, donc, c’est ça la typologie de personnes que tu accompagnes.
Ce sont des personnes qui ont envie d’être accompagnées, qui ont envie de gagner du temps, sur la mise en place de ses stratégies.
Steven Giron – C’est ceux qui veulent gagner du temps. Parce qu’en fait, si je reprends mon parcours à moi, simplement. Avant de développer ces techniques, ces stratégies avant de les avoir optimisées. J’ai mis 2 ans, en le faisant plus ou moins seul avant de développer ce système, même presque 3 ans. Parce que la troisième année, je considère ça comme une année de consolidation, de vérification.
Donc, là, je suis dans ma quatrième année d’exploitation et je sais que le système que je mets en place est fiable. À travers moi, ce que j’ai mis en place à travers les autres personnes que j’accompagnais, et sur le type de profils, ce sont vraiment des propriétaires avec le mindset d’investisseurs. Donc voilà développer peut être un patrimoine, mais développer le côté location courte durée, ou alors les conciergeries aussi. J’ai pas mal de conciergeries qui viennent me voir pour optimiser leur système parce qu’ils sont toujours dans l’ancien modèle.
Sauf qu’aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, on peut améliorer l’implémentation des stratégies pour développer aussi bien le côté « booster la rentabilité », qu’optimiser son système de gestion pour que ça devienne chronophage. Ce qui est dommage aussi, aujourd’hui, c’est qu’il y a pleins de conciergeries qui cherchent à se lancer, mais qu’au bout d’à peine un an, arrête parce qu’ils se rendent compte qu’ils sont tombés. Ils ont retrouvé un deuxième job alors qu’à la base, ils ne voulaient pas forcément avoir les pieds dans le plat et faire ça à plein temps.
Et ça, c’est un peu les risques de la location saisonnière. Quand on se lance, on n’est pas forcément accompagné, on met en place seul les choses. C’est que c’est extrêmement chronophage. Et tu perds beaucoup de temps et au final, ça devient une activité à part entière pour certains.
Ça peut être une activité exercée à temps plein, avec toutes les contraintes à gérer les gestions des problèmes. Tu dois gérer tous les problèmes, surtout en haute saison, quand il y a beaucoup d’allées et venues au niveau d’un bien, si ce n’est pas automatisé, effectivement, ça peut être vite source de problèmes. Ça, c’est sûr.
Justement, par rapport à ça, il y a deux profils. Certains se disent « je préfère économiser un maximum d’argent et de faire moi-même ». Et d’autres qui sont ouverts à la délégation, à l’automatisation.
C’est là où on voit le côté justement mindset de l’entrepreneur et qu’on se dit « OK, bah, je me suis lancé dans ce type d’activité. Donc, si on veut réussir, c’est être OK avec le fait d’automatiser, déléguer. On ne peut pas gagner sur tous les tableaux, mais il faut avoir cette part. »
Et Pour moi, le juste-milieu c’est garder quelque part le côté stratégie/visibilité/annonces/pricing si on a le temps, bien sûr, et déléguer et automatiser la partie logistique sur place.
Pareil avec le système d’entrée/sortie. Moi, par exemple, je mets en place des boites à clefs pour automatiser l’entrée et la sortie. Ce sont des systèmes qu’on peut mettre en place pour automatiser aussi.
Et après, prestataire de services sur place, qui gère le côté logistique et pareil, lui reçoit toutes les informations à chaque réservation. Ce n’est pas moi qui lui envoie, c’est automatisé. Il reçoit toutes les informations, le calendrier qui est bloqué. Combien de personnes viennent ? Combien de temps ils vont rester ? etc. Pour les voyageurs qui vont séjourner.
On en revient à ça. C’est vraiment une démarche entrepreneuriale, donc c’est vraiment intéressant de voir les choses. L’entrepreneur, il met en place la stratégie et après, il délègue. Effectivement, si on fait tout, tout seul. De toute façon, on est bloqué, on ne peut pas se développer, donc c’est exactement la transposition de ça à l’activité de location saisonnière.
Célia Petrissans – C’est vraiment très intéressant ton partage d’expérience à ce niveau-là. Je trouvais que c’était intéressant, effectivement, de faire cette interview parce que déjà, t’es vraiment spécialisé dans ton domaine.
Toi, c’est ton activité, tu vis de ça, tu as mis du temps déjà à mettre en place les stratégies. Tu proposes des formations qui sont issues de ton expérience. Tu n’as pas produit, une formation sans l’avoir mis en place auparavant au niveau de tes biens. Je trouve ça super intéressant et ça permet d’ouvrir cette activité parce qu’aujourd’hui, on voit quand même beaucoup de personnes qui sont assez réfractaires par rapport à la location saisonnière.
Steven Giron – Sauf que dans certains cas, ça pourrait être intéressant effectivement. En adoptant des stratégies, en se faisant accompagner, ça peut être quelque chose qui n’est pas si compliqué que ça. En tout cas si c’est lourd à mettre en place, il faut déléguer cette partie, je pense que c’est le mieux.
Et comme tu dis, tu vois, c’est un ensemble de compétences que j’ai réuni parce qu’avant d’en arriver là, je me suis bien sûr formé. Tu vois tout ce qui est marketing, j’ai dû me former là-dessus. Je ne savais pas forcément comment mettre en valeur un bien, une agence, etc.
Stratégie de tarifs, je me suis éduqué avec des experts, avec des personnes qui ont travaillé dans l’hôtellerie, etc.
Sur la mise en place des outils, c’est pareil. J’étais accompagné de personnes spécialisées là-dedans. En fait, c’est un mélange de tout ça que j’ai rassemblé.
Célia Petrissans – C’est super intéressant. Le lead management, c’est super intéressant de voir comment on fait varier les prix en fonction de la demande. C’est effectivement extrêmement intéressant. Bon, compliqué si on souhaite mettre ça en place tout seul. Mais c’est vrai que ça permet de maximiser tes revenus, j’imagine, sur certaines périodes.
Super merci ! En tout cas, merci pour ton partage d’expérience. Parce que je pense qu’il y a tout un tas de conseils vraiment intéressant à mettre en oeuvre et ça va permettre d’éclairer certaines personnes, justement, qui souhaitent envisager la location saisonnière, qui ont parfois une appréhension et de pouvoir libérer certains blocages.
Donc oui, c’est possible de faire la location saisonnière. C’est encore possible actuellement. Donc il ne faut pas croire qu’effectivement, du fait du confinement, tout s’est arrêté. Alors je pense que ça a contraint certaines activités. Ça, c’est sûr. Il ne faut pas se le cacher à une certaine période. De nos jours, on est dans une deuxième phase de confinement où les choses ne sont pas aussi strictes. C’est-à-dire que l’activité économique continue. Donc, il y a tout un volet, notamment en déplacement professionnel, qui continue d’exister.
Voilà, tu es l’exemple même. Tu as encore plus d’activités que d’habitude. Juste avant de commencer l’interview, c’est ce que tu me disais que tu as fait ton meilleur mois de novembre.
Steven Giron – C’est ça. C’est ça qui m’a un peu étonné, c’est qu’en termes de revenus générés d’habitude au mois de novembre, c’est très creux dans mon secteur.
Là, c’est une tendance du marché, mais en termes de revenus générés, je fais quasiment aussi bien, voir mieux, que les années précédentes. Et justement, c’est parce que c’est la stratégie. Je n’ai pas cherché uniquement à baisser les prix. C’est issu d’une vraie stratégie derrière.
Célia Petrissans – D’accord, ok, mais ça, c’est intéressant justement d’avoir ton retour d’expérience à ce niveau-là. Mais en fait, je pense que de toute façon, on va mettre tes coordonnées en description de la vidéo.
Steven Giron – S’il y a des personnes qui sont intéressées, qui veulent passer à la location saisonnière et qui veulent être accompagnées. Ça me paraît être indispensable de suivre une formation. Ou si on a vraiment pas le temps, d’être accompagné sur la mise en place opérationnelle des éléments.
Parce qu’aujourd’hui, je pense qu’effectivement, si on ne se professionnalise pas, on va commencer une activité qui va être extrêmement chronophage. Et d’ailleurs, on le voit, beaucoup de personnes reviennent de la courte durée, mais ce n’est pas ce que je pense qu’ils n’ont pas mis en œuvre tout un tas de stratégies qui permettent de professionnaliser vraiment son activité.
Célia Petrissans – Merci beaucoup Steven. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous les poser.
N’hésitez pas également à vous abonner à la chaîne. Vous serez notifié de toutes nos nouvelles vidéos et si vous avez des questions, on va mettre de toute façon tes coordonnées de Steven, ton adresse mail, le lien vers ton site internet Le Consultant BNB. On peut te contacter directement pour avoir des questions. Si quelqu’un souhaite être accompagné, par exemple, pour cette mise en place.
Steven Giron – Oui, bien sûr, avec plaisir. J’ai également un groupe Facebook dédié où je partage pas mal d’infos là-dessus. Au groupe Facebook Elite location courte durée automatisée, donc, si besoin, après il y a mes coordonnées sous la vidéo.
Merci beaucoup pour cette interview. Très bonne fin de journée, à bientôt.
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